SANDRA EST REPARTIE , CE SOIR ELLE SERA AUPRES DE SA MAMAN A COMPIEGNE . Mon ancienne ville ; bien sur certain connaisse, mais je pense à mes nouveaux aminautes de l’année et j’ai envie de leur faire connaître un endroit qui reste cher à mon cœur .J’y ai était commerçante 20 ans , c’est dans cette ville ou est né mon fils , bref plein de bons souvenirs s’y rattachent
Entre 1740 et 1751, plusieurs projets de reconstruction totale du château sont présentés. Tous sont
éclipsés par celui que Ange-Jacques Gabriel présente en 1751 : immédiatement agréé, il est aussitôt mis à exécution. Malgré les travaux, Louis XV continue de venir souvent à Compiègne, où
il aime à chasser. C'est là qu'il choisit d'accueillir le 14 mai 1770 l'archiduchesse Marie-Antoinette d'Autriche, venue épouser le dauphin, futur Louis XVI.
Chambre à coucher de
l’Empereur
L'ensemble – gros œuvre et décors – est achevé en 1788.
Napoléon 1er accueille à Compiègne l'archiduchesse Marie-Louise d'Autriche, future impératrice, le 27 mars 1810 pour leur première rencontre. La Cour revient
à Compiègne après le mariage, célébré à Paris.
Louis-Philippe vient pour la première fois à Compiègne en 1832 pour préparer le mariage de sa fille aînée Louise avec le roi des Belges Léopold Ier, qui est célébré au château le 9 août
1832.
Bibliothèque de Napoléon
1er. Mobilier et bureau mécanique de Jacob-Desmalter.
Napoléon III et la Cour revient à Compiègne en 1853 et 1855, mais ce n'est qu'en 1856 que commence la série des « Compiègne », c'est-à-dire un séjour d'un mois à un mois et demi chaque
automne, pour les chasses en forêt, avec organisation des invités en « séries » d'une centaine d'invités chacune.
Galerie de bal
Il y avait généralement quatre séries.
Compiègne est la seule des résidences impériales à pouvoir présenter aujourd’hui un ensemble homogène de décors et de mobilier du Premier Empire.
Chambre à coucher de l’impératrice. Château de Compiègne
Les aménagements, réalisés à partir de 1808 sous la direction de Berthault, vont amener la création d’appartements somptueux aux couleurs vives fortement contrastées.
Le soleil est déjà haut dans le ciel lorsque Marie-Louise se réveille, en cette matinée de printemps 1811. Arrivée la veille au soir à Compiègne, l’impératrice d’origine
autrichienne est venue accompagnée de son fils, le Roi de Rome, né quelques mois plus tôt.
Lorsqu’elle passe devant la fenêtre encore embuée par la fraîcheur matinale, la jeune impératrice est stupéfaite à la vue du parc: Ce qui n’était encore qu’un jardin de taille moyenne la
veille semble se prolonger maintenant dans la forêt brumeuse… Une immense allée a été percée au sein des bois, en face de sa propre chambre, située au centre du château. Les Beaux-Monts
sont désormais coupés par cette trouée vertigineuse qui offre une vraie perspective au parc, jusqu’alors obstrué par l’épaisse forêt de fagacées.
Son impérial époux avait secrètement ordonné l’aménagement d’une vaste percée quelques mois auparavant, sur une distance de 4,7 km… Napoléon souhaitait évoquer à son épouse le château de
Schönbrunn, demeure viennoise des Habsbourg, où elle avait vécu avant leur mariage. Le site prit le nom d’Avenue Napoléon, et dans les projets de l’empereur, elle devait être terminée, au
sommet de la colline, au point où la perspective s’achève, par un palais qu’il prévoyait de nommer 'Palais d’Iéna'.
La légende retient que l’allée des Beaux-Monts fut accomplie en une nuit, comme une merveilleuse surprise préparée pour le réveil de la jeune mariée. Elle fut en réalité aménagée pendant
les mois de l’hiver 1810-1811, marquant la première transformation apportée au château de Compiègne par Napoléon Ier.
L’histoire des Beaux-Monts révèle une facette moins connue d'un homme devenu, par sa seule ambition, Empereur des français, et qui voulut graver dans la nature le témoignage de sa passion
pour une femme